Un fait historique comme toile de fond, un air de romance pour commencer.
Un brin de politique : l'homme providence...
Un soupçon de fantaisie : une puce atteinte de gigantisme s'humanise en chantant.
La découverte du dépassement de soi pour autrui, par amitié, par amour.
Un scénario qui nous tient en haleine jusqu'au bout. Finalement, n'est pas monstre qu'on croit.
Un graphisme intéressant (dans la lignée des Triplettes de Belleville) avec pour une fois des visages pas trop parfaits à la Disney.
Et que dire de la bande son ? Vanessa Paradis, Sean Lennon et Matthieu Chedid."La Seine" reste en tête longtemps après la fin du générique.
Dans le Paris de 1905, la Tour Eiffel a les pieds dans l'eau. Lucille, jolie chanteuse brille à Montmartre. Emile, projecteur cinéma, et Raoul, le livreur un peu fantasque(un manteau en foin !!!) s'aventurent dans une serre ou la manipulation de potions transforme une puce en monstre tendre. Lucille le recueille et le baptise Francoeur - il deviendra son partenaire de scène. Tandis que le préfet, avide de popularité, veut tuer le monstre au plus vite, pour apparaitre comme un héros, Lucille avec l'aide d'Emile et Raoul le protège. Jeu de cache et course poursuite s'ensuivent. Mais la potion n'a qu'un effet momentanée : Francoeur redevient une puce.Le préfet est enfermé. La potion est recrée pour faire de Francoeur, un acolyte permanent. Lucille embrasse Raoul. Rideau. FIN.
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